Tu sais que j’ai du mal,
Encore à parler de toi,
Il parait que c’est normal,
Il n’y a pas de règles dans ces jeux là.
Tu sais j’ai la voix qui se serre,
Quand je te croise dans les photos,
Tu sais j’ai le cœur qui se perd,
Je crois qu’il te pense un peu trop.
C’est dur de briser le silence,
Même dans les cris, même dans la fête,
C’est dur de combattre l’absence,
Car cette conne n’en fait qu’à sa tête.
Et personne ne peut comprendre,
On a chacun sa propre histoire.
On m'a dit qu’il fallait attendre,
Que la peine devienne dérisoire.
Dimanche 21 mars 2010 à 18:19
Commentaires
Par Dimanche 21 mars 2010 à 19:19
le Faut que tu saches que je suis passée, que j'ai lu, mais que je suis pas douée pour ce genre de choses :(
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Et. J'espère que tu vas bien (quand même).
Je voulais savoir, tu es là en juin? Ce serait cool qu'on se voit (pour notre fameux café/verre) parce qu'avant ça, je sais que j'ai vraiment trop de boulot pour te promettre un truc. Et puis, Hélène m'avait dit qu'elle viendrait peut-être sur Paris, ce serait comme qui dirait super génial qu'on se voit toutes les 3 (je pense taffer au mois de juin mais bon, pendant un jour de congé, on pourrait se voir ;) )
Bisous